C’est l’année où le monde s’est senti plus petit, s’unissant contre cet ennemi commun qu’est le coronavirus. Les frontières on semblé s’estomper au fur et à mesure que nous suivions l’expérience des autres et nous efforcions d’apprendre. Les humains se sont unis, les communautés locales sont devenues plus soudées, et l’être humain s’est montré dans toute sa vulnérabilité. Pour beaucoup, cela s’est traduit par le décès d’êtres chers, pour d’autres, par la perte d’un moyen de subsistance en raison de la crise économique. Des rêves ont été brisés ou mis en attente. Des choses que nous tenions pour acquises nous ont été enlevées.

Mais, nous avons également fait l’expérience d’une façon de travailler très différente — et pour beaucoup, c’était mieux. Nous avons appris à mieux connaître nos enfants et avons assumé le rôle d’enseignants. Nous avons trouvé de nouvelles (et souvent meilleures) façons de faire les choses. Et, des héros inattendus sont apparus dans toute la société, nous inspirant et nous motivant tous par des actes de gentillesse spontanés. 

Nous avons reconnu (beaucoup d’entre nous pour la première fois), que nous ne sommes pas nécessairement maîtres de notre destin, et que nous comptons sur les autres pour nous aider à nous en sortir— les gouvernements, les chefs d’entreprise, les employeurs, et surtout les professionnels de la santé. 

En travaillant ensemble et en exploitant ce sens de la communauté et de la responsabilité, l’avenir semble plus prometteur que désespéré. Les efforts de durabilité à long terme ont bénéficié d’un véritable coup de fouet, car nous reconnaissons plus que jamais qu’il nous incombe de faire ce qu’il faut, et de le faire bien. Nous savons ce qui est en jeu dans le monde. Et nous savons que le pire des scénarios peut effectivement se produire. 

Mais, en fin de compte, ce sont nos congénères humains qui nous ont permis de surmonter l’année 2020, cette année qui a été marquée par des efforts surhumains. C’est pourquoi Ageas tient à remercier tous les héros méconnus du monde entier d’être les supporters de NOS vies.